Assurément à travers votre démarche artistique, vous changerez en profondeur l’objet choisi en repensant sa forme, mais pas seulement…
#matière #matériau #forme #couleur #échelle #assemblage #ready-made #statut
Contrainte : la réalisation sera tridimensionnelle et mettra en valeur les matières utilisées.
Le thème de l’objet dans l’art introduit des questions relatives à la représentation et à l’organisation du visible, à la transformation et au détournement de sa fonction… Il devient alors un nouveau sujet d’investigation pour l’artiste dans son temps. L’artiste représente l’objet, l’observe et l’interprète, le revisite sur différents supports et va l’utiliser même comme matériau de l’œuvre.
Vocabulaire
Métamorphose :
μετά, méta (: au-delà, après, ensuite) ; μορφή, morphê, (: forme).
Transformation, changement d’une forme en une autre. Changement de cette nature opéré par les Dieux dans la mythologie grecque et latine (cf. la métamorphose d’Actéon en cerf, de Daphné en laurier).
Transmutation :
Changement d’une substance en une autre. 1. Transformation d’un élément atomique simple en un autre par modification de son noyau atomique. 2. Transformation totale de quelque chose en quelque chose d’autre.
Objet :
Emprunté au latin scolastique objectum, proprement « jeté devant », mis en avant pour être saisi. Le terme objet apparaît en français au 17e siècle pour désigner : la chose matérielle destinée à un usage précis, qui s’offre à la vue et au toucher et que peut saisir la main, au sens figuré, ce sur quoi s’exerce une intention, un sentiment, une action : « l’objet de ma visite », « l’objet de mon désir.
Produit de l’activité humaine, créé et fabriqué dans un certain but fonctionnel, esthétique ou autre. Introduit dans la peinture par les cubistes (Georges BRAQUE, Pablo PICASSO), détourné par Marcel DUCHAMP dans ses ready-made, mis en scène dans les installations et les environnements, l’objet occupe une place majeure dans l’art depuis le début du 20e siècle.
Les Métamorphoses d’Ovide
À travers les légendes traditionnelles grecques et romaines, Ovide raconte, en quinze chants ou livres (représentant plus de douze mille vers), un ensemble de récits concis sur les métamorphoses des dieux, des déesses, de héros ou de simples mortels.
- Zeus se métamorphose en cygne, en serpent, en coucou, en pluie d’or, en étalon, en aigle, en taureau, en nuage…
- Actéon est métamorphosé en cerf
- Arachné en araignée
- Arcas en constellation
- Aréthuse en fontaine
- Callisto en ourse, puis en constellation
- Cyané en lac
- Daphné en laurier
- Écho en rocher
- Les Héliades en peupliers
- Io en génisse
- Méduse pétrifie quiconque la regarde
- Narcisse en fleur
- Niobé en rocher (source)
- Les Piérides en pies
- Syrinx en roseau
Objectifs pédagogiques
Les objectifs de cette séquence sont d’amener les élèves à :
- explorer les spécificités plastiques de l’objet
- prendre conscience de ses diverses propriétés
- comprendre que la matérialité d’une œuvre influe sur sa réception par le spectateur
- saisir que la matérialité de celle-ci peut être le sujet même de l’œuvre.
Questions abordées
Dans quelle mesure les objets du quotidien peuvent-ils devenir matériau d’une œuvre d’art ?
Qu’est-ce qui distingue une œuvre d’art d’un objet quelconque ? Comment l’art peut-il transformer notre rapport aux objets du quotidien ? En quoi les relations, les interactions, les incidences entre art et artisanat renouvellent-elles les questions artistiques sur la création ?
En quoi les matériaux interviennent-ils dans la réalité concrète d’une production plastique ? Quelles peuvent être les incidences des matériaux dans la présence physique d’une œuvre ? En quoi la matière peut-elle faire intervenir d’autre sens que la vue ?
En quoi la matérialité physique de l’œuvre change-t-elle la perception de celles-ci ? Est-elle expressive ? Dans quelle limite se donne-t-elle à voir comme un dispositif de représentation ?
[Cf. Représentation et création ; matières premières de l’œuvre ; introduction du réel comme matériau ou élément du langage plastique ; liens entre partis-pris et formes d’un objet de design]
Évaluation
L’évaluation portera sur :
- le dessin préparatoire dans le carnet
- la maîtrise des moyens plastiques d’expression
- la cohérence et la pertinence des choix (plastiques, iconiques, sémantiques, symboliques) pour traduire la métamorphose et la clarté de l’explication orale
- la pertinence des références convoquées.
Références artistiques possibles
- Giuseppe ARCIMBOLDO (1527-1593), Le Feu, 1566, huile sur chêne, 66,5 × 51 cm, Kunsthistorisches Museum, Vienne, Autriche
- Le BERNIN, Apollon et Daphné, 1622-1625, sculpture conservée à la Galerie Borghèse à Rome

- Auguste RODIN (1840-1917), Le Sculpteur et sa muse, 1895-1897, ronde-bosse, plâtre, 66,3 × 53 × 54,5 cm, 18,5 kg, Musée Rodin, Paris. Auguste Rodin fait traduire certaines de ses œuvres dans le marbre, notamment par François POMPON (1855-1933). Il aime la blancheur du matériau antique et affectionne la teinte du marbre de Paros et apprécie également l’inachèvement de certaines œuvres en marbre de Michel-Ange. Rodin utilise cet effet de non finito (terme employé au 16e siècle par le théoricien Giorgio Vasari) dans un sens nouveau. Le matériau est mis en avant (bloc, aspect brut, traces d’outils) et révèle l’émergence de la figure. Il oppose fortement le bloc laissé brut avec les figures au corps lisse, ou bien joue au contraire sur une confusion des surfaces, donnant une impression générale plus floue ou abstraite.

- Pablo PICASSO (1881-1973), Le Verre d’absinthe, 1914, bronze peint et sablé (verre modelé, sucre moulé) et cuillère à absinthe, 21,5 x 16,5 x 6,5 cm, MNAM, Paris – https://images.grandpalaisrmn.fr/ark:/36255/16-500699 Le verre, avec la bouteille, est un des objets de prédilection du Cubisme. Il induit la transparence, la diffraction optique, permettant un élargissement de la forme. Contrairement à l’objet insolite des surréalistes, il s’agit d’un objet d’atelier, d’un objet familier. Comme le souligne Werner Spies, l’originalité de cette œuvre réside dans le curieux assemblage entre le verre modelé par la main de l’artiste, un verre représenté donc, une cuillère réelle en argent, et l’imitation en fac-similé d’un morceau de sucre. On retrouve donc ici trois niveaux de référence. “Je m’intéressais à la relation entre la vraie cuillère et le verre sculpté. À leur confrontation”, affirme Picasso.
Source : https://mediation.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-objet/ENS-objet.htm - Marcel DUCHAMP (1887-1968), Broyeuse de chocolat No2, 1914, huile sur toile, 65,4 × 54,3 cm, Philadelphia Museum of Art. Après avoir vu une broyeuse à chocolat dans la fenêtre d’un confiseur à Rouen en 1913, Duchamp prit cette machine comme sujet de deux peintures, choisissant un style de représentation qui rappelle la précision d’un diagramme d’ingénierie. Son rendu aplatit l’image et rapproche la main de l’artiste d’une reproduction mécanique.

- Marcel DUCHAMP (1887-1968), Porte-bouteilles, 1914 / 1964, séchoir à bouteilles en fer galvanisé, 64,2 x 42 cm (diam.), Centre Pompidou, Paris. Avec Porte-bouteilles, acheté au Bazar de l’Hôtel de Ville, Duchamp élabore le concept de ready-made : « objet usuel promu à la dignité d’œuvre d’art par le simple choix de l’artiste ».
- Marcel DUCHAMP (1887-1968), Fountain, 1917, urinoir retourné, porcelaine 63 x 48 x 35 cm, Centre Pompidou, Paris. Présenté au Salon des indépendants de New York, sous le pseudonyme de R. Mutt, le jury, dont il faisait lui-même partie, le refuse. Ce scandale marque le début de l’épopée et du succès des ready-made.
Par ce geste, l’artiste transforme un objet du quotidien manufacturé en œuvre d’art. L’objet n’est plus alors représenté, comme c’était le cas auparavant avec des genres comme la nature morte, mais présenté directement en tant que tel. Paradoxalement, ce geste inaugure l’ère de l’art conceptuel, alors même que le produit exposé est immédiat et tangible : Duchamp affranchit l’artiste du devoir de fabrication de l’œuvre pour se concentrer sur le travail conceptuel. - Raoul HAUSMANN (1886-1971), Tête mécanique – l’Esprit de notre temps, 1919, hauteur : 33 cm, Musée National d’Art Moderne, Paris

- MAN RAY (1890-1976), L’Énigme d’Isidore Ducasse, 1920, négatif au gélatino bromure d’argent sur verre, 10 x 12,5 cm – objets : parapluie et machine à coudre emballés, Centre Pompidou, Paris
- MAN RAY (1890-1976), Le Cadeau, 1921-1972, fer à repasser et 14 clous, 17,8 x 9,4 x 12,6 cm, Tate Collection, London

- Meret OPPENHEIM (1913-1985), Object (Déjeuner en fourrure), 1936, tasse, soucoupe et cuillère recouvertes de fourrure de gazelle, MoMA, NY. Le titre est trouvé par André BRETON, qui l’expose en 1936. Cet ensemble recouvert d’une fourrure mouchetée de gazelle chinoise est à la fois une référence au Déjeuner sur l’herbe d’Édouard MANET, qui défraya la chronique en 1863, et au roman La Vénus à la fourrure de Leopold von SACHER-MASOCH (1870). Ici, Meret Oppenheim tisse des liens entre érotisme et animalité, volupté et banalité.
- Meret OPPENHEIM (1913-1985), My Nurse (Ma Gouvernante), 1936, plateau métallique, escarpins blancs, ficelle et papier, 14 × 33 × 21 cm, Coll. Moderna Museet, Stockholm

- Marcel MARIËN (1920-1993), L’introuvable, 1937, plastique et verre (objet détourné)

- Victor BRAUNER (1902-1966), Loup-table, 1939-1947, bois et éléments de renard naturalisé, 54 x 57 x 28,5 cm, Centre Pompidou, Paris. La table, objet familier et réconfortant car lié aux repas, à l’élément nourricier source de vie, se retourne en son contraire se métamorphosant en animal agressif et dévorant.
- Pablo PICASSO (1881-1973), Tête de taureau, 1942, cuir et métal, 33,5 x 43,5 x 19 cm, Paris, Musée national Picasso
- Pablo PICASSO (1881-1973), La Guenon et son petit, 1952, plâtre, métal, céramique, objets divers, dont autos d’enfant, puis bronze, 53,3 x 33,7 x 52,7 cm, Musée national Picasso, Paris
- Robert RAUSCHENBERG (1925-2008), Monogram, Combine-painting, 1955-1959, 106,6 x 160,6 x 163,8 cm, Musée National d’Art Moderne, Paris


- CÉSAR (1921-1998), Ricard, 1962, automobile compressée, 153 x 73 x 65 cm, Centre Georges Pompidou, Paris
- Niki De SAINT PHALLE (1930-2002), Le Cheval et la mariée, 1963-1964, tissu, objets divers et grillage, 235 x 300 x 120 cm, vue de l’exposition au Grand Palais, Paris, Coll. Sprengel Museum, Hanovre

- ARMAN (1928-2005), Poubelle d’atelier, 1964, objets divers et déchets dans une boîte en carton vissée sur un panneau d’aggloméré, 122 x 100 x 29,5 cm, Musée de Saint-Étienne Métropole
- Andy WARHOL (1928-1987), Brillo Boxes (3 cents off), 1964, sérigraphie sur contreplaqué, 33,3 x 40,6 x 29,2 cm


- Joseph BEUYS (1921-1986), Infiltration homogène pour piano à queue, 1966, piano recouvert de feutre et tissus, 100 x 152 x 240 cm

- Claes OLDENBURG (1929-2022), Soft Toilet, 1966, sculpture souple, bois, vinyle, kapok, fil de fer, support en métal et base en bois peint, 142,6 × 79,5 × 76,5 cm, Whitney Museum of American Art, NY
- Jacques CARELMAN (1929-2012), Catalogue d’objets introuvables, 1969
- Claes OLDENBURG (1929-2022), Ray Gun Wing, 1969-1977, installation, bois, aluminium et vitrine avec 258 objets, 263 × 450 565 cm, Museum moderner Kunst Stiftung Ludwig Wien | mumok, Vienne, Autriche

- Claes OLDENBURG (1929-2022), Ghost Drum Set, 1972, 10 éléments en toile, bourrés de billes de polystyrène, cousus et peints, 80 x 183 x 183 cm, Centre Pompidou, Paris

- Bertrand LAVIER (1949-), Mademoiselle Gauducheau, 1981, placards métalliques peints à l’acrylique, 195 x 91,5 x 50 cm, Centre Pompidou, Paris. Dès 1981, Bertrand Lavier recouvre d’une épaisse couche de peinture des objets du quotidien tout en reproduisant leurs couleurs originelles et leurs détails. Mademoiselle Gauducheau (1981), un placard métallique, est un exemple parmi d’autres d’objet manufacturé repeint où l’artiste joue de l’ambiguïté entre œuvre et objet, la limite ténue entre art et non-art.
- Jean-Luc VILMOUTH, Masques, 1982, ustensiles de maison, Musée de l’Objet, Blois – La paréidolie (du grec ancien para-, « à côté de », et eidôlon, diminutif d’eidos, « apparence, forme ») est une sorte d’illusion qui consiste à associer un stimulus visuel ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.
- Bertrand LAVIER (1949-), Zenith EM, 1984, appareil photo, peinture acrylique, 9 x 14 x 11 cm


- Jeff KOONS (1955-), Inflatable Rabbit, 1986, sculpture en acier inoxydable, 1,04 m de haut
- John ARMLEDER (1948-), Furniture Sculpture 189, 1988, acrylique sur toile et batterie muette, 110 x 270 cm (toile), 91 x 86 x 66 cm (batterie)
- Allan McCOLLUM (1944-), Thirty Perfect Vehicles, 1988, 30 pots en plâtre peints à l’acrylique et présentés sur des socles de hauteurs variées, 5 x 7 x 1,68 m, Musée de Grenoble
- Claes OLDENBURG (1929-2022) et Coosje Van BRUGGEN (1942-2009), Buried bicycle (La Bicyclette ensevelie), 1990, sculpture monumentale partiellement enfouie dans le sol (roue, guidon, pédale et selle) de 2,8 x 16,3 x 3,2 m, Parc de la Villette, Paris


- Markus RAETZ, Métamorphose I, 1991, fonte de fer, 32,3 x 27 x 12,5 cm, Musée d’art et d’histoire, Ville de Genève
- Gilles TOUYARD (1956-), 1 portant de 4 vêtements (objet de seduction) de la série Enflures, 1993, portant métallique, caoutchouc synthétique et valves, 125 × 215 cm
- François Xavier LALANNE (1927-2008), Grand Mouflon de Pauline, 1993, design, secrétaire en bronze à patine noire, intérieur en bronze peint et gainé de cuir, 130 × 120 × 50 cm
- Gabriel OROZCO (1962-), La DS, 1993, Citroën DS modifiée, 140,1 x 482,5 x 115,1 cm, Fonds national d’art contemporain (Cnap)
- Fabrice HYBER (1961-), Ballon carré, Prototype d’Objet en Fonctionnement # 65, 1998, 22 x 22 x 22 cm


- Tim NOBLE (1966-) et Sue WEBSTER (1967-), Wasted Youth, 2000, déchets, fac-similés de nourriture, emballages de McDonalds, bois, projecteur, 210 x 134 x 66 cm – http://www.timnobleandsuewebster.com/
- Damián ORTEGA (1967-), Cosmic Thing, 2002-2003, installation à la 50e Biennale de Venise d’une Volkswagen Type 1 modèle 1989 entièrement démontée couleur grise, qui est suspendue par des câbles
- Franck SCURTI (1965-), Les Reflets (Tabac, Loto, Metro, Presse), 2004, enseignes lumineuses, néons, 120 x 42 x 35 cm et dimensions variables

- Margarita CABRERA (1973-), Vocho (Yellow), 2004, voiture grandeur (VW Coccinelle) nature en pièces cousues de vinyle, rembourrage et fil, 152,4 × 182,9 × 396,2 cm, Seattle Art Museum, Seattle

- Bernard PRAS (1952-), Dali (No53), 2004, photographie – https://bernardpras.fr/pop_culture/dali/
- Enrica BORGHI (1966-), Vestito blu (Robe bleue), 2005, bouteilles et sacs en plastique, MAMAC, Nice
- Erwin WURM (1954-), Fat Car Convertible (Porsche), 2005, mousse polystyrène, résine polyester, voiture, 130 × 469 × 239 cm

- Levi Van VELUW, Self portraits part I et II, 2006-2010, sculptures et photographies – https://levivanveluw.com/work/2006-2010-self-portraits-part-i


- Damien HIRST (1965-), For The love of God (Pour l’amour de Dieu), 2007, réplique en platine, crâne 17e siècle et 8501 diamants d’une valeur de 20 millions de dollars
- Maximo RIERA, Rhino Chair, 2011-2012, fauteuil, pour la série « Animal Chairs », le designer espagnol a utilisé une fraiseuse contrôlée par ordinateur qui a servi au découpage des formes dans des blocs de mousse, ces derniers ont ensuite été placés sur une structure métallique, puis, enveloppés de cuir.
- Andréas DETTLOFF (1963-), Objets du Fenua – Nouveaux regards, 2018, installation de pneus sculptés aux motifs de tatouages marquisiens, exposition au Musée des Arts et Métiers, Paris

Références aux programmes
Domaines de l’investigation et de la mise en œuvre des langages et des pratiques plastiques : outils, moyens, techniques, médiums, matériaux, notions au service d’une création à visée artistique
La représentation, ses langages, moyens plastiques et enjeux artistiques
– Représentation et création : reproduction, interprétation, idéalisation, approches contemporaines, apports de technologies
La matière, les matériaux et la matérialité de l’œuvre
– Matières premières de l’œuvre : états et usages de la matière dans une création plastique
– Caractéristiques physiques et sensibles de la matière et des matériaux : potentialités plastiques de la rigidité, souplesse, élasticité, opacité, transparence, fluidité, épaisseur, densité, poids, fragilité
– Introduction du réel comme matériau ou élément du langage plastique : matériaux artistiques et non artistiques, collages d’images et d’objets, stratégies du ready-made
– Question de la cohérence plastique : traitement des données matérielles de l’œuvre visant l’homogénéité ou le composite
– Valeur artistique de la réalité concrète d’une création plastique : présence physique de l’œuvre, sa possible immatérialité
Champ des questionnements artistiques interdisciplinaires
– Liens entre partis-pris et formes d’une architecture, d’un paysage, d’un objet de design : approches sensibles, de la main jusqu’au corps entier, impliquant les questions de l’échelle, du volume, de l’espace selon la destination d’un projet ou d’une réalisation