La notion de projet est mise en place et développée progressivement dans les situations de cours ordinaires et dans des dispositifs plus exceptionnels engageant des moyens plus conséquents. Elle se comprend et se travaille dans les séquences d’enseignement, par l’encouragement de la démarche de projet en favorisant désir, intentions et initiatives. Elle aboutit ponctuellement à des projets d’exposition, offrant aux élèves l’opportunité d’explorer les aspects de la présentation artistique de leur travail. De plus, cela leur permet de rencontrer l’œuvre d’art et l’artiste, ce qui enrichit leur parcours d’éducation artistique et culturelle.
Formalisez le projet et les choix de production de la réalisation : notez dans votre carnet adaptations ou interactions entre moyens techniques et intentions, afin de constituer une mémoire du travail plastique…
En mars, la création à plusieurs
À l’occasion de trois situations de pratiques plastiques, les élèves en option éprouveront en mars des démarches de coopération, de collaboration ou de co-création dans un projet à visée artistique. Chaque projet développé dans ce cadre sera l’occasion d’éclairer les questions induites sur le statut de l’auteur.
- Projet de peinture murale avec lazyfarke : La Protection judiciaire de la jeunesse, dans le cadre de sa mission de réinsertion de jeunes déscolarisés, a demandé au lycée de collaborer à la création d’une peinture murale sur le thème du « bien vivre ensemble ». Les élèves de première en option, en collaboration avec le peintre Jonathan ARKY, seront responsables de la conception et de la planification du projet. En mai 2025, une équipe composée de jeunes de la PJJ et d’élèves de première s’occupera de la création de la fresque murale.
- Workshop avec Leonie FELLE & Fred RASPAIL : Le projet impliquera un groupe d’élèves de seconde dans les différentes étapes de conception, de réalisation et de présentation d’une installation pour une performance musicale en allemand sur le thème d’ »Une Dystopie sans couleur » (cf. Du hast den Farbfilm vergessen (1974), Nina Hagen und die Gruppe Automobil)
- Projet avec Thonon Art Urbain : Le projet proposera au deuxième groupe des élèves de seconde de l’option de créer collectivement deux grandes toiles libres (200 × 160 cm) pour le festival L’Art dans la rue. Le thème de l’année 2025 est « pour faire le portrait d’un oiseau ».
Objectifs pédagogiques
Les séquences ont pour objectifs d’amener les élèves à :
- accueillir la parole de l’autre et sa divergence, formuler des propositions, négocier des compromis, prendre des décisions, etc.
- partager ses savoirs ou ses doutes ; prévoir, répartir ou coordonner les tâches
- être capable de passer des choix à l’initiative ; mettre en œuvre un processus de création
- s’inscrire dans une dynamique d’expérimentation et d’exploration, de recherche et d’invention, de rencontres sensibles en lien avec la création artistique et de réflexion sur l’art
- faire preuve d’autonomie, d’initiative, d’engagement et d’esprit critique au regard d’une pratique plastique sensible.
Évaluation
L’évaluation portera sur :
- la cohérence des choix et des partages des opérations plastiques au regard du projet
- les prises d’initiative et l’engagement dans une pratique réflexive, plasticienne et significative au sein du groupe : accueillir la parole de l’autre et sa divergence, formuler des propositions, négocier des compromis, prendre des décisions…
Questions
Dans quelle mesure les pratiques collaboratives artistiques redéfinissent-elles l’image de l’artiste ? Qu’est-ce que la créativité collective ?
En quoi convoquer de véritables entreprises ou structures de production n’est-il pas novateur dans le domaine de l’art ?
[Cf. Penser le projet d’une création dans la dynamique d’une pratique artistique ; pratiquer en collaborant, partager des compétences et des ressources individuelles ou collectives]
Méthodologie
- Rechercher et collecter des informations : cette étape consiste à rassembler les éléments liés au thème du workshop. Les informations sont regroupées dans une carte-mentale ou un sketchnote pour mettre en évidence les connexions entre les différentes informations iconiques, procédurales, techniques, sémantiques, symboliques, historiques, etc.
- Comprendre le thème, le sujet
- Choisir des partis-pris conceptuels et plastiques : les élèves expliquent pourquoi ces choix sont appropriés et pertinents par rapport au sujet.
- Établir la fiche du projet : intention, descriptif sommaire, schéma, échantillons, etc.
- Explorer et expérimenter diverses approches plastiques en lien avec les décisions esthétiques prises de manière collaborative : réaliser des échantillons, les 1ers essais ; puis, faire le point, trouver des influences ou références artistiques pouvant être mises en relation avec le travail en cours
- Exécuter la mise en œuvre : répartir ou coordonner les tâches
- Organiser l’exposition et la présentation (: monstration et médiatisation).
Références artistiques possibles
Marina ABRAMOVIC (1946-) et ULAY (1943-2020) est un duo et un couple d’artistes de la performance qui sont parmi les pionniers qui ont développé ce que l’on appelle l’art corporel (Body art). Ils travaillent ensemble de 1976 à 1989. Souvent très simples et conceptuelles, leurs performances ramènent chaque action à leur plus simple expression, c’est-à-dire qu’en cherchant les limites corporelles par des actions souvent brutales et répétitives ils présentent au public une expérience où l’on sent plus l’aspect physique du corps que sa symbolique.

AES+F est un groupe d’artistes russes d’art contemporain. Il est composé de Tatiana Arzamasova (1955), Lev Evzovich (1958), Evgeny Svyatsky (1957), et Vladimir Fridkes (1956). Arzamasova, Evzovich et Svyatsky ont créé le groupe AES en 1987. En 1997, Friedkes a rejoint AES et le groupe a changé pour AES+F. Le quatuor travaille surtout avec la photographie, l’art graphique et la vidéo, tout en conservant les disciplines traditionnelles comme la peinture et la sculpture.

ART & LANGUAGE est un collectif d’artistes conceptuels britanniques fondé en 1968 à Coventry en Angleterre. Il a eu un rôle essentiel, de même que le journal Art-Language qu’il éditait (premier numéro en novembre 1969) dans la naissance de l’art conceptuel et avec une forte influence sur le développement aux États-Unis et en Grande-Bretagne de cet art qui dès la fin des années 1960 remit en question la nécessité d’un objet pour une démarche artistique et analysa de manière critique les conditions d’existence d’une œuvre d’art.
L’Atelier VAN LIESHOUT (1995), une entreprise composée d’une vingtaine de personnes aux compétences variées : architectes, artistes, ouvriers qualifiés dans les domaines du bois, du métal, de la résine. Leurs productions évoluent aux confins du design, de l’architecture et de l’art contemporain tout en cultivant une bonne dose d’humour.
AZIZ+CUCHER : Anthony Aziz (1961-) et Sammy Cucher (1958-) sont des artistes américains basés à Brooklyn (NY) qui travaillent ensemble. Leur pratique interdisciplinaire comprend la photographie et l’animation numériques, la vidéo, les textiles, la sérigraphie et la sculpture. Ils sont considérés comme des pionniers de la post-photographie et de l’utilisation de l’imagerie numérique dans les Beaux-arts.
Le BAUHAUS (1919-1933) est une école d’architecture et d’arts appliqués, fondée en 1919 à Weimar (Allemagne). Lorsque Walter GROPIUS crée cette école, il souhaite faire renaître une communauté de travail aussi exemplaire que celle des loges médiévales qui réunissaient les artistes de toutes spécialités (des architectes, sculpteurs, artisans divers).

Bernd (1931-2007) et Hilla BECHER (1934-2015) sont un couple de photographes allemands connus pour leurs photographies frontales d’installations industrielles.
B.M.T.P. est le nom qui a été donné par un critique d’art à un groupe de quatre artistes : Daniel BUREN (1938-), Olivier MOSSET (1944-), Michel PARMENTIER (1938-) et Niele TORONI (1937-), en 1967. Entre 1967 et 1968, pendant une courte période d’une année, eurent lieu cinq Manifestations numérotées de 0 à 4. Les artistes arrêteront leur action communes avant la Manifestation 5.

Jake (1966-) & Dinos CHAPMAN (1962-) sont deux frères artistes plasticiens britanniques. Ces artistes jouent beaucoup sur l’effet de choc de leurs thèmes (moralité, religion, sexe, mort, philosophie, histoire de l’art, société de consommation, etc.), sur la controverse et le second degré. Les œuvres mêlent souvent l’humour et l’horreur.
La Collection Yoon JA et Paul DEVAUTOUR, dont les œuvres se confondent avec celles des artistes qu’ils ont inventées de toute pièce…
La collection tout entière rassemble des noms d’artistes plutôt insolites : Art Keller, Nancy Crater, David Vincent, Martin Tupper, Alexandre Lenoir, Dr Brady, le cercle Ramo Nash… Autant d’identités archétypales dont les pratiques singulières s’entremêlent au gré de l’histoire de cette collection. Yoon Ja Choi & Paul Devautour affirment avoir cessé toute production artistique personnelle en 1985. Depuis, ils préfèrent se définir comme des opérateurs en art dont le rôle est de promouvoir les artistes qu’ils représentent, tout en assurant la gestion et le développement d’une collection qu’ils n’ont de cesse d’enrichir eux-mêmes au gré de ses différentes présentations publiques. « Dans les années 80, le collectionneur s’est imposé comme une figure toute-puissante, capable de faire des choix, de peser sur le marché et sur les artistes, d’orienter la totalité du système artistique. Il nous a semblé donc plus intéressant, et plus efficace, de réunir des œuvres plutôt que d’en produire. »
EQUIPO CRÓNICA est un groupe artistique fondé en 1965 à Valence et composé de Manolo Valdés (1942), Rafael Solbes (1940-1981) et Juan Antonio Toledo (1940-1995), bien que ce dernier se dissocie rapidement du collectif. Le groupe cherchait à ses début une figuration critique avec une esthétique pop et une composante d’engagement politique antifranquiste. Dans les années soixante-dix, son travail abandonne la sérialisation et réalise des pastiches avec des œuvres de la tradition picturale espagnole.
EVA & ADELE est un couple d’artistes allemandes vivant à Berlin. Elles sont surtout connues pour leurs performances, mais sont également présentes dans des expositions avec des œuvres matérielles (photographie, vidéo et peinture) depuis 1997.

La FACTORY est l’atelier d’artistes et un lieu de socialisation situé à New York, qu’a ouvert Andy WARHOL le 28 janvier 1964. Le lieu a notamment servi à la production des œuvres pop art de Warhol. https://fr.wikipedia.org/wiki/Factory
Peter FISCHLI (1952-) et David WEISS (1946-2012) sont deux artistes suisses actifs principalement dans les domaines du cinéma, de la sculpture et de la photographie. Ils sont réputés pour avoir réalisé le film expérimental Le cours des choses en 1987 et remporté le Lion d’or lors de la Biennale de Venise en 2003.
FLUXUS est un mouvement artistique né dans les années 1960. Lancé par George MACIUNAS, Fluxus participe aux questionnements soulevés par les formes d’arts qui voient le jour dans les années 1960 et 1970 : statut de l’œuvre d’art, rôle de l’artiste, place de l’art dans la société, notamment.
« Avec Fluxus, il n’y a jamais eu aucune tentative d’accord sur des buts ou des méthodes ; des individus avec quelque chose d’indescriptible en commun se sont simplement et naturellement réunis pour publier et jouer leurs œuvres ».

GENERAL IDEA est un collectif d’artistes de trois Canadiens : Felix Partz, Jorge Zontal et AA Bronson, actif de 1967 à 1994. De 1987 à 1994, leur travail aborde la crise du sida, sous la forme de quelque 75 projets temporaires d’art public. Leur installation majeure, One Year of AZT/One day of AZT fut présenté en tant que projet au Musée d’art contemporain de Toronto et fait maintenant partie des collections du Musée des beaux-arts du Canada.
GILBERT & GEORGE (respectivement né en 1943 et en 1942) sont deux artistes plasticiens britanniques travaillant en couple. Au début, ils furent connus comme artistes de performance. Pendant qu’ils étaient étudiants, ils ont fait The Singing Sculpture (1970), placés sur une table, couverts de peinture métallique dorée, ils mimaient la chanson de Flanagan And Allen Underneath the Arches, ceci parfois pendant des heures. Dans les années 1980 et 1990, une partie de leur œuvre concerne le SIDA : c’est notamment le cas de AD en 1987, Flow (1988) ou encore une série anticléricale, contre le positionnement de l’église sur le préservatif. Les costumes d’hommes d’affaires qu’ils ont portés pour ces performances sont devenus une sorte d’uniforme pour eux, et ils apparaissent rarement en public sans les porter. Il est pratiquement impossible de voir l’un sans l’autre. Ils refusent de dissocier leurs performances de leur vie quotidienne, insistant sur le fait que tout ce qu’ils font est art. Ils se voient eux-mêmes comme « sculptures vivantes ».
G.R.A.V. : le Groupe de Recherche d’Art Visuel est un collectif d’artistes, créé en 1960 à Paris et auto-dissout en 1968. Le GRAV implique le spectateur dans le processus de l’œuvre et efface la figure de l’artiste. C’est un des mouvements contestataires et radicaux les plus importants en France, des années 1960.

GUERILLA GIRLS est un groupe d’artistes féministes fondé à New York en 1985 et connu pour créer et diffuser des affiches afin de combattre le sexisme et le racisme dans les arts. Les membres souhaitent rester anonymes, elles portent des masques de gorille et utilisent des pseudonymes qui font référence à des femmes artistes décédées. Dans leurs actions, le groupe utilise la tactique du détournement culturel.
IFP (Information Fiction Publicité) est fondé en 1984 à Paris par Philippe Thomas (1951-1995), Dominique Pasqualini (1956-)et Jean-Francois Brun (1953-).
Atelier de Jeff KOONS à Manhattan : Jeff Koons (1955-) ne cache pas que sa méthode de travail est éloignée de celle des artistes seuls dans leur atelier. Si ses premières œuvres sont de simples transferts d’objets existants dans un contexte artistique, il a depuis longtemps intégré des collaborateurs, tant pour l’élaboration que pour l’exécution. Certaines de ses œuvres ont exigé une lente maturation technique, allant du traitement par ordinateur à l’exécution par des spécialistes, artisans ou industriels. Ses plus récentes peintures représentent aussi l’aboutissement d’un processus de création collaborative, mais où il entend rester le maître.

NUMEN / FOR USE : Sven Jonke, né en 1973, vit et travaille à Berlin ; Christoph Katzler, né en 1968, vit et travaille à Vienne et Nikola Radeljkovic, né en 1971, vit et travaille à Zagreb forment un collectif qui, depuis les années 2000, travaille dans le domaine de la scénographie et des arts visuels. Leurs créations expérimentales et sans usage prédéfini sont souvent immersives et toujours activées par le public – https://palaisdetokyo.com/exposition/numen-for-use/
PIERRE et GILLES est le pseudonyme du couple d’artistes plasticiens français formé par le photographe Pierre Commoy (1950-) et le peintre Gilles Blanchard (1953-). Depuis 1976, ils développent une œuvre à quatre mains entre peinture et photographie. Leurs tableaux mettent en scène personnages anonymes ou célèbres, dans des décors sophistiqués construits grandeur nature en atelier. Une fois la photographie tirée sur toile, commence un méticuleux travail de peinture. Ces créateurs d’images ont constitué une iconographie singulière explorant la frontière entre l’histoire de l’art et culture populaire.
Anne et Patrick POIRIER (nés en 1942) forment un couple d’artistes français qui réalisent ensemble une œuvre commune. Issus tous deux d’un monde en ruines, où l’Ange de l’Histoire de Walter Benjamin voit « la violence qui s’accumule », ils ont centré leur travail sur la mémoire comme lieu d’interrogations inépuisables de l’identité individuelle ou collective, et réalisent de grandes maquettes qu’ils présentent le plus souvent sous forme d’installations.
Présence Panchounette est un collectif d’artistes français, actif de 1968 à 1990. Le groupe est composé de Christian Baillet, Pierre Cocrelle, Didier Dumay, Michel Ferrière, Jean-Yves Gros, Frédéric Roux et Jacques Soulillou.
Jean TINGUELY (1925-1991) et Niki de St PHALLE (1930-2002) : couple à la ville et dans l’atelier, les deux noms sont immédiatement associés à la fontaine Stravinsky à Paris où les machines noires du sculpteur viennent mettre en branle les animaux et objets fantasques et colorés de sa compagne en hommage au compositeur russe.

Studio Olafur Eliasson est un studio créé en 1995 à Berlin par l’artiste danois Ólafur Elíasson (1967-). Le Studio se compose de plus de 90 architectes, artisans techniciens spécialisés, historiens d’art et archivistes. En étroite collaboration avec l’artiste-fondateur, l’équipe du Studio travaille sur les expériences dans le design, et produit des œuvres, des expositions et des projets architecturaux. L’équipe s’attache aussi à communiquer et contextualiser le travail d’Ólafur Elíasson.
Cf. https://www.yellowtrace.com.au/studio-olafur-eliasson-berlin/
UNTEL est un groupe d’artistes constitué, à l’origine, de Jean-Paul Albinet, Philippe Cazal et Alain Snyers (Wilfrid Rouff prend la place d’Alain Snyers suite au départ de ce dernier en 1978) dont l’existence brève mais passionnée, de 1975 à 1980, a donné vie à de nombreuses actions dans l’espace public.
Le dénominateur commun de ces actions est l’investigation du quotidien, investigation sociale et politique, à des fins critiques, très imprégnées des idées contestataires de mai 68 et de la pensée situationniste.
Cet esprit se manifeste en particulier dans une œuvre, Vie quotidienne, environnement de type grand magasin, créée pour la Biennale de Paris en 1977. Le visiteur déambule entre les rayonnages de ce qui, à première vue, ressemble effectivement à un supermarché. Il s’aperçoit cependant bien vite qu’il n’y a rien à vendre et que les marchandises conditionnées qui sont en exposition, renvoient davantage à son propre conditionnement mental de consommateur. (Source IAC)
Andy WARHOL & Jean-Michel BASQUIAT : De 1984 à 1985, Andy Warhol (1928-1987) et Jean-Michel Basquiat (1960-1988) réalisent environ 160 toiles ensemble, « à quatre mains », dont certaines parmi les plus grandes de leurs carrières respectives.

Références aux programmes
Domaines de la formalisation des processus et des démarches de création
L’idée, la réalisation et le travail de l’œuvre
– Les processus allant de l’intention au projet : diversité des modalités du travail préparatoire (esquisse, photomontage, modélisation, écrits), incidences sur le projet, valeur artistique
– La formalisation du projet et des choix de production de l’œuvre : adaptations ou interactions entre moyens techniques et intentions, constitution d’une mémoire du travail plastique
La création à plusieurs plutôt que seul
– Le partage des compétences ou des tâches : du projet à la réalisation, organisation, mutualisation, coopération….
Champ des questionnements artistiques interdisciplinaires
– Mise en espace, mise en scène de l’œuvre : usages de l’architecture d’un lieu, absence de séparation entre public et œuvre, exploitation du cube scénique, implication ou non du spectateur